Lou ( Émois libertins)

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il y a 8 ans

Auteur : fabrissa

Je suis un peu en retard au restaurant où m’a invitée un copain, Lou. Je sais qu’il a envie de moi. Il ne me déplaît pas du tout : il est mignon, poli. Il me semble, ça reste à vérifier, qu’il est bien monté. Je verrai ensuite si je me donne à lui ou si je reste avec mon type actuel. Ce n’est pas qu’il ne me plaise pas, il me fait bien l’amour comme j’aime. Lou se lève quand j’arrive, tire la chaise pour que je prenne place. Le maître d’hôtel donne les menus : le mien est vierge de prix. La classe quoi.

J’ai droit à une cour intensive, presque trop. Je suis belle, intelligente, agréable à regarder, bien habillée, bref toutes les fadaises dont je me fous. Il prend mes mains, les caresse gentiment. Il est mignon de me faire ces mamours. Il faut que je passe à l’action quitte à passer pour une garce :

  • J’aime bien les sexes masculins, c’est bon de les avoir dans le corps. Qu’est-ce que tu en penses ?

  • Heu, rien, tu dois avoir raison.

  • Comment est ta bite ?

  • Ben, je n’en sais rien ?

  • Tu n’en sais rien, tu ne te branles jamais ?

  • Euh, oui, des fois, enfin……

Je lui cloue le bec. C’est moi qui aborde abruptement le problème de la baise. Je l’ai totalement déstabilisé. Lou en a lâché mes mains. Je les lui reprends en pensant que je deviens une drôle de fille. Au fond de moi, j’ai envie de le prendre dans mes bras pour le consoler.

J’ai envie d’attendre pour voir ce qu’il va faire : me laisser tomber ou continuer dans son idée cachée : me faire l’amour. La fin du repas arrive quand il émerge.

  • Si je te dis que j’ai envie de te baiser, tu m’en veux ?

  • Non, bien sûr, c’est flatteur de dire ça à une fille chaude comme moi. Ne me dis pas que c’est pour la vie. Sache que je suis dévoyée totalement.

Le voilà prévenu. Il s’en fiche totalement quand, en sortant, il me prend par un bras. Je le remercie à ma façon : je l’embrasse sur la joue. Tant pis pour mon mec, il attendra cette nuit, ce ne sera pas la première fois. Je vais chez Lou en taxi, qu’il paie. Il ne manquerait plus qu’il me demande de payer à sa place. Il veut me baiser, à lui de cracher.

Son petit appart est pas mal. Bien sûr, c’est celui d’un homme. Je me laisse faire : enfin il ose m’embrasser sur la bouche. C’est agréable. Sa salive est bonne, comme sa langue qui bouge dans ma bouche. Quand il me colle à lui, il sait bien que je ne refuserai pas qu’il me baise. Reste à savoir comment il va s’y prendre.

Il s’y prend bien en m’embrassant sans le cou. Il ne sait pas que ça me donne des frissons dans tout le corps. Ce n’est pas seulement lui qui me fait cet effet, tous ceux qui m’embrassent dans le cou me donnent des frissonnements.

Ses mains se promènent sur moi. Il fait les choses classiquement en me caressant, pas mal d’ailleurs, la poitrine. Il me fait presque bander les tétons. Je passe mes mains sur ses épaules en attendant que lui aille bien plus loin. Je sens qu’il bande contre mon ventre. Tant mieux, je n’aurai pas à m’en occuper moi-même.

Je suis là pour mon plaisir, pas tellement pour le sien. Lou est pour moi un gode perfectionné.

Enfin, il se dégèle en commençant à essayer de me déshabiller. Je le laisse faire : il arrive après quelques efforts à me laisser en string et soutien-gorge. Je suis bien obligée de déboutonner sa chemise et le premier bouton du pantalon. Je le sors de sa chemise, j’arrive à ouvrir la fermeture Éclair de la braguette. Sa queue fait bien gonfler le slip que je fais tomber avec le reste. Il est pas mal du côté bite.

Là, il me tente, je me baisse pour le prendre dans la bouche. Il a un bon goût de bite bandée. Bien sûr, comme pour tous ceux que j’ai sucés, il a un arrière goût de pisse. Je préfère ça à une queue bien propre passée sous le savon et le robinet, donc sans saveur de queue.

Mes lèvres l’entourent d’abord pour faire connaissance avant de la faire sortir pour la prendre avec une main à la base, en le branlant un peu, à peine pour que ma langue puisse lécher le plus possible son mat. Je tiens ses couilles dans une main. Je les fais ballotter un peu. Je m’attarde sur son méat, presque comme si j’attendais son sperme. Quand je le prends dans la bouche, ma langue la serre contre ma joue. Il peut me baiser un peu la bouche, j’aime bien ça.

J’arrête malgré son désir de jouir dans ma bouche. Nous ne nous connaissons pas assez pour que je permette cette familiarité.

Quand je me relève, il pense enfin à ma chatte. Il me branle un peu, bien d’ailleurs, je l’aurais bien laissé aller à me faire jouir. Il s’arrête en route. C’est bien un homme qui ignore comment finir ce qu’il a commencé dans un con. Je n’ai pas trop à me plaindre quand il me couche sur son lit. Il vient mettre sa tête entre mes jambes. Ouf, il va enfin me lécher. Il réussit plutôt bien quand il prend un gros orteil dans la bouche pour le lécher. J’aime bien, j’en mouille un peu plus. Très lentement, presque trop, il lèche ma jambe en montant jusqu’au genou. Il s’y arrête un moment pour embrasser sous le genou, avant de reprendre sa progression vers ma chatte. Il me tarde qu’il me suce.

Je suis plus tranquille quand il arrive à prendre mes deux seins ; c’est qu’il peut arriver sur mon con. Cette fois il est parfait. Sa langue me fouille tout mon secret. Pourtant, il commence à l’envers. Mon cul a la première visite. Il le lèche doucement au point de m’envoyer vers le pays réservé aux orgasmes. Il peut se rendre compte que je suis sensuelle. Je crois que je préfère sa langue à sa bite, qu’il ne m’a pas encore mise.

Il insiste sur ma fente. Mes lèvres l’attirent, mon clitoris n’a pas l’air de lui plaire tellement. Peut-être parce que je ne l’ai pas trop développé. Ce n’est pas pour ça que je n’aime pas jouir avec ce petit, tout petit bout de chair.

Il continue sa montée pour qu’enfin je sois à sa portée. Je guide sa queue dans mon vagin. Il s’y engouffre trop vite pour aller attendre je ne sais quoi au fond. Je me sens obligée de commencer moi-même les va-et-vient. Je suis surexcitée au point de jouir trop vite pour lui.

Je me dégage pour me tourner en levrette. Avant qu’il réagisse, je mets de la cyprine sur le cul. Sa bite est presque sur l’anus. Il ne refuse pas de me sodomiser, au contraire, il me semble que sa queue en grossit. Il entre assez facilement dans mon cul. J’aime sentir passer un gland juste avant le reste de la pine. Il me fait bien jouir. Je ne pensais pas qu’il soit aussi performant.

Juste avant de jouir, je peux resserrer mes muscles pour réduire l’ouverture de mon conduit rectal. Pour moi, c’est le paradis, pour lui, c’est la jouissance.

Nous finissons la nuit ensemble. Il me baise encore deux fois. J’ai bien ma dose de sperme à déguster. Je ne le trouve pas terrible. J’en préfère d’autres. Je le lui dis. Il ne semble pas satisfait de ma franchise.

Je me masturbe en prenant ma douche chez lui. Bien sûr, il me regarde en bandant. Je l’invite à me rejoindre pour me faire pardonner ma franchise. Je le branle alors qu’il aurait préféré que je lui fasse une fellation. J’aurais craché son sperme.

En partant, je lui dis adieu.

  • Pourquoi adieu ?

  • Je préfère baiser avec mon mec.

  • Je ne t’ai pas bien baisée ?

  • Si, mais bof, j’ai connu bien mieux. Tu sais, je ne peux même plus compter ceux qui me sont passés dessus. Alors, toi…

Il me semble déçu. Je n’aurais pas dû le lui dire si brutalement qu’il ne me plaît pas comme amant.

Mais quand on est une garce comme moi, qui ne pense qu’à son propre plaisir, il n’y a pas d’interdit.

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